Ref.: S-AS918
UGS : S-AS918
Modèle spécial Astroscope
Bleu / Jaune
L’Astroscope affiche les jours de la semaine comme ils ne l’ont jamais été auparavant.
Édition limitée à 100 pièces
Disponible sous 3 à 5 jours
2.390,00€ TVA inclue
En stock
L’Astroscope : un affichage des jours de la semaine jamais vu auparavant, en relation avec les corps célestes qui leur sont attribués depuis des temps immémoriaux.
Un patrimoine antique
Le Soleil et la Lune divisent le temps entre jour et nuit, et rythment les douze mois de l’année que nous pouvons tous éprouver et observer. Cependant, la division en semaines de sept jours ne suit pas de rythme astronomique particulier : ce choix repose plutôt sur une explication mythologique.
La méthode remonte probablement aux Babyloniens qui, comme de nombreux autres peuples, considéraient le chiffre sept comme sacré et lié à sept corps célestes – le Soleil, la Lune, Mars, Mercure, Jupiter, Vénus et Saturne.
À l’instar de la plupart des planètes qui portent des noms de divinités romaines, la plupart des jours de la semaine en allemand et en anglais tiennent leur nom de la mythologique nordique. À travers l’Histoire, l’attribution des jours de la semaine aux corps céleste a traversé l’épreuve du temps :
Lundi, la Lune ☽
Mardi, Mars ♂
Mercredi, Mercure ☿
Jeudi, Jupiter ♃
Vendredi, Vénus ♀
Samedi, Saturne ♄
Dimanche, le Soleil ☉
Avec ces corps célestes et les symboles qui leur sont communément associés, l’Astroscope affiche les jours de la semaine non pas d’une manière linéaire ou radiale, mais déambulant d’avant en arrière dans une constellation qui ne se produit que tous les dix à douze ans dans le ciel nocturne austral de l’hémisphère Nord. En juillet 2020, les sept corps célestes des jours de la semaine y furent visibles au même moment. L’Astroscope représente cette formation sur son cadran ; un point lumineux apparaît le lundi vers 12 heures au niveau du symbole de la Lune, le lendemain à gauche au niveau du symbole de Mars. Le mercredi, il apparaît à côté de Mercure, vers 9 heures ; le jeudi, à côté de Jupiter, à 3 heures…
Cet affichage est certes inhabituel, mais reste tout aussi simple de compréhension que la lecture de l’affichage de l’heure en mono-aiguille.
L’Astroscope est animée par un mouvement automatique suisse qui peut être observé à travers le fond de boîte transparent en verre vissé. Le boîtier, en acier inoxydable et d’un diamètre de 40 millimètres, est étanche jusqu’à 50 mètres.
Un patrimoine antique
Le Soleil et la Lune divisent le temps entre jour et nuit, et rythment les douze mois de l’année que nous pouvons tous éprouver et observer. Cependant, la division en semaines de sept jours ne suit pas de rythme astronomique particulier : ce choix repose plutôt sur une explication mythologique.
La méthode remonte probablement aux Babyloniens qui, comme de nombreux autres peuples, considéraient le chiffre sept comme sacré et lié à sept corps célestes – le Soleil, la Lune, Mars, Mercure, Jupiter, Vénus et Saturne.
À l’instar de la plupart des planètes qui portent des noms de divinités romaines, la plupart des jours de la semaine en allemand et en anglais tiennent leur nom de la mythologique nordique. À travers l’Histoire, l’attribution des jours de la semaine aux corps céleste a traversé l’épreuve du temps :
Lundi, la Lune ☽
Mardi, Mars ♂
Mercredi, Mercure ☿
Jeudi, Jupiter ♃
Vendredi, Vénus ♀
Samedi, Saturne ♄
Dimanche, le Soleil ☉
Avec ces corps célestes et les symboles qui leur sont communément associés, l’Astroscope affiche les jours de la semaine non pas d’une manière linéaire ou radiale, mais déambulant d’avant en arrière dans une constellation qui ne se produit que tous les dix à douze ans dans le ciel nocturne austral de l’hémisphère Nord. En juillet 2020, les sept corps célestes des jours de la semaine y furent visibles au même moment. L’Astroscope représente cette formation sur son cadran ; un point lumineux apparaît le lundi vers 12 heures au niveau du symbole de la Lune, le lendemain à gauche au niveau du symbole de Mars. Le mercredi, il apparaît à côté de Mercure, vers 9 heures ; le jeudi, à côté de Jupiter, à 3 heures…
Cet affichage est certes inhabituel, mais reste tout aussi simple de compréhension que la lecture de l’affichage de l’heure en mono-aiguille.
L’Astroscope est animée par un mouvement automatique suisse qui peut être observé à travers le fond de boîte transparent en verre vissé. Le boîtier, en acier inoxydable et d’un diamètre de 40 millimètres, est étanche jusqu’à 50 mètres.
Technique
Sellita SW 220
Automatique
28’000 semi-oscillations par heure – 4 Hz
Réserve de marche 38 h
Automatique
28’000 semi-oscillations par heure – 4 Hz
Réserve de marche 38 h
Verre frontal
Verre saphir
Boîtier acier
Boîtier acier inoxydable
Diamètre 40 mm
Diamètre 40 mm
Étanchéité
Étanche à 50 mètres